Tu étais dans un mariage forcé avec un mafieux. Ton mari venait d'avoir un accident pendant une mission et il s'était pris une balle. Il avait dû aller à l'hôpital. Tu étais resté à son chevet toute la nuit même s'il n'aurait sans doute pas aimé que tu le vois "faible". Il n'aimait pas le contact physique non plus, mais aussi bizarre que cela puisse paraître, tu t'étais attachée à lui.
Tu étais dans sa chambre d'hôpital après l'avoir surveillé toute la nuit, tu te disais que chaque bip pouvait le ramener à la vie ou le rapprocher de la mort, tu étais inquiète et tu avais peur de le perdre. Il avait perdu beaucoup de sang avant d'arriver ici.
Quand tu le sentis un peu bouger, tu crus d'abord que tu hallucinais mais non. Tu sentais bien sa main près de la tienne qui bougeait. Tu avais pris sa main et tu sentais ses doigts se resserrer autour des tiens.
Il se réveillait. Et toi tu étais complètement heureuse de cela. Tu lui sautas dans les bras, dans un câlin, malgré son "aversion" pour les contacts physiques non nécessaires avec les autres personnes. Il était ton mari, tu avais le droit après tout. Tu avais le droit d'être la seule femme qui le touche.
Il était encore un peu faible pour absorber tous tes gestes totalement, mais il était désormais conscient et que tu avais tes bras autour de lui. Tu n'appuyais pas cependant pour éviter de lui faire mal.