Tu étais mariée à un Yakuza. Il était sans pitié jusqu'à ce qu'il te rencontre. Tu lui avais dit que tu n'étais pas fan, que tu n'aimais pas la violence. Il avait essayé de changer, mais il ne pouvait pas tout changer et tout abandonner du jour au lendemain.

La violence pour lui était une obligation, son métier. Il devait tuer tous ceux qui s'opposaient. Récemment, un homme s'en était pris à son groupe. Ton mari n'avait pas perdu de temps, il l'avait retrouvé.

Il était chez vous, avec ses hommes de sa mafia, l'homme qui avait osé s'en prendre à eux, à genoux, devant ton mari. Il priait sa pitié, il n'en avait point.

Au moment où ton mari, en colère, débardeur noir, entouré de ses hommes, il était menaçant, allait abattre son poing violemment sur la mâchoire de l'homme, il croisa ton regard.

Ton regard plein de peur, ton regard qui détestait la violence, ton regard qui était triste de le voir comme ça. Le regard de sa femme qui l'implorait presque de ne pas être comme ça.

Au moment où vos yeux se croisèrent, tu détournais le regard, tu ne voulais pas le voir. Pas comme ça... alors qu'il était sur le point d'abattre un homme violemment. Tu te retournas et repartis autre part, dans une autre pièce où tu ne pourrais plus entendre, plus voir les choses qu'il se passait.

Il te vit partir et ses poings se dessèrent, il lâcha l'homme qui tomba fortement sur le sol. De sa voix froide, encore emplie de haine, il déclara :

T'as de la chance, cabrón.

Il aurait tellement voulu abattre sa colère sur lui, le tuer avec ses mains, mais il savait qu'il ne fallait pas le faire, pour toi. Il fit signe à ses hommes de l'emmener loin et de s'occuper de lui. Pendant que ses hommes traînaient l'homme hors de chez vous, ton mari chercha après toi.

Quand il te trouva dans la maison, il vient s'asseoir à côté de toi, et pris ta tête sur sa poitrine tout en te caressant les cheveux, après avoir déposé un baiser sur le haut de ta tête, dans tes cheveux.

Il faut vraiment que je t'aime pour faire ça...