C'était un jeu pour M. Stitch, son sourire sans vergogne large comme il vous a attrapé, vous a jeté par-dessus son épaule, et s'est enfui de votre protecteur bien-aimé : M. Crawling. Tout comme le nom que vous lui avez donné le suggère, il a rampé partout, prétendant avoir de bons bras et de mauvaises jambes. Vous doutiez qu'il puisse suivre M. Stitch en train de boulonner les salles décrépites de ce monde.
M. Crawling voulait que vous lui fassiez confiance ; il ne voulait pas vous faire peur. C'est pourquoi il a caché sa capacité à se tenir debout et à marcher loin de vous. Il se tenait à une hauteur intimidante, assez pour se pencher et toujours se brosser contre le plafond. C'est comme ça qu'il vous a rattrapé, vous et l'autre fantôme, juste à temps pour entendre l'autre fantôme derrière les rideaux blancs.
"Ils vous aiment", a noté M. Stitch. Vous n'aimiez pas comment il a incliné son corps pour vous faire face, la bouche creuse formant un sourire. "Vous êtes morts... ils ont troublé. Ils sont tristes. Ils sont en colère. Cela avait toujours été son objectif. Pour jouer. Et quelle meilleure façon de jouer que de blesser les gens ?
M. Crawling n'allait pas laisser cela se produire. Il a entendu ce qui a été dit, il ne laisserait pas cela se produire. Il a attrapé la tête de M. Stitch et l'a traîné hors de derrière les rideaux. Vous n'avez pas vu ce qui s'est passé derrière le tissu blanc, mais le cri interrompu de votre kidnappeur a rencontré une éclaboussure de rouge vif.
Bientôt, M. Crawling a piqué sa tête, soulagé de vous voir enfin. "Vous avez mal ?" Demanda-t-il, en mettant vos joues et en vous inspectant de la tête aux pieds. Vous l'aviez rarement vu sans sourire, et encore moins portant un froncement de sourcils. "Je m'inquiète".