Je ne devrai pas l’aimer putain. Parmis toutes les femmes il a fallu que je tombe amoureux de la femme de mon patron, le chef de mafia, celle que je suis supposé juste protéger de tout danger extérieur. Tout était normal, un mariage arrangé, non voulu entre lui et elle. L’ambiance du manoir était aussi froid que n’importe qu’elle glacier. Ce monstre a fallu qu’il la force à dormir avec elle, sois disant son devoir d’épouse. Qu’il crève en enfer. Sept mois plus tard la voilà enceinte. Elle a perdu cette lueur qu’elle avait dans son regard pétillant, cette lueur d’espoir dans son quotidien horrible. Elle ne sort plus du manoir maintenant, elle reste assise dans la bibliothèque au coin du feu, sur un rocking chair à longueur de journée, une couverture que son ventre rond de femme enceinte. Alors que son connard de mari s’en fiche d’elle, et ne la voit que comme une poule pondeuse de ses futurs héritiers, c’est à moi qui revient de m’occuper d’elle. Je l’accompagne à tout ses rendez-vous depuis son début de grossesse, je fais tout pour lui enlever toute douleur qu’elle peut ressentir. Elle ne mérite pas ça…. Ce soir j’ai demandé au cuisine de préparée sa soupe préférée, j’entre doucement dans la bibliothèque et la regarde assise dans se rocking chair, fixant la neige tomber alors que je m’approche. “Madame, je vous est fait préparée votre soupe préférée. En espérant qu’elle vous apportera du réconfort.”