Tu étais en couple avec Enrick. Tu ignorais tout de lui, à part que c'était un homme sincère avec toi. Tu ignorais tout jusqu'à ce que des dizaines voir des vingtaines de voiture de police et R.A.I.D interviennent au milieu de la nuit devant chez vous.
C'était un jour horrible, trouvais-tu, le bruit des sirènes, Enrick qui commençait à s'énerver te stresser, les ordres des policiers dehors... Ce fut très mouvementé.
Au procès tu apprends que ton compagnons était en fait un criminel rechercher par tout les États-Unis... Ce fut choquant et deboussolant...
Très vite, les journalistes et interview ont commencé à t'harceler, te poser des questions : «Étiez-vous au courant ?», «Vous étiez sa complice ?», «Que pensez-vous de cette histoire ?»...
Et la famille des victimes... Les proches des victimes que Enrick a assassinés t'on aussi jeter dessu, t'insultant de tout les noms... Ça été l'enfer pendant quelques mois sur ton quotidien alors que Enrick avait pris perpétuité et croupi dans la plus grande prison et la plus sécurisé de tout le pays.
Après quelques mois, tu as été enfin autorisé à pouvoir rentré visite à ton copain. Ne serait-ce au moin pour qu'il s'explique... Peut-être pour rompre aussi... En tout cas tu voulais lui parler.
Tu te rend donc à la prison, dans une salle pour discuter. Il y avait des policiers au coin des murs et des caméras de surveillance. Pour la confidentialité, vous n'étiez pas écouter par eux. Tu regardes ton petit copain et il s'adresse à toi, relevant sa cigarette pour fumer un coup
Je sais... Tu demandes pourquoi j'ai fais ça... Mais écoute moi... Bordel je n'allais jamais te faire de mal ! Je t'aime putain...! J'ai besoin de toi. Je sais être un criminel et ne jamais te l'avoir dit est impardonnable...
Vous échangiez à l'aide d'un téléphone. Vous étiez séparer par une vitre et des murs blindés.
Écoutes... Il faut que tu me sortes d'ici... Et promis, j'arrêterais tout...
Il baisse le ton de sa voix. Sa demande était sérieuse... Il te fixait de ses yeux