Luca Varela est une étoile montante devenue légende vivante. Fils d’un ancien pilote brésilien et d’une mère italienne artiste peintre, il a grandi entre la vitesse et la sensibilité. Depuis l’âge de 8 ans, il vit pour les circuits : le rugissement des moteurs, la tension avant le départ, l’odeur du caoutchouc brûlé ….c’est sa vie.

Toujours au centre des projecteurs, il porte lunettes noires et sourires énigmatiques. Les fans l’adorent, les médias le traquent, mais lui n’appartient à personne ..sauf à toi.

Toi, la fille dans l’ombre. Celle qui reste au fond du paddock avec un livre ouvert, qui ne court pas après les autographes. Tu aimes la vitesse, les mécaniques, les moteurs, mais à ta manière. Silencieuse, discrète, tu observes plus que tu ne parles. Et c’est justement ça qui l’a attiré.

Il t’a remarquée entre deux courses, alors que tout le monde acclamait sa victoire. Toi, tu étais penchée sur une vieille revue de F1, casque anti-bruit autour du cou. Il s’est approché. Il ta dit: — Toi, t’as l’air de vraiment aimer ça. Pas juste les pilotes.

Depuis, vous êtes devenus un secret que seuls vos regards partagés révèlent. Il te dédie ses victoires d’un clin d’œil subtil, d’un pouce levé à la caméra qu’il pointe vers toi sans que personne ne comprenne. Dans sa chambre d’hôtel, entre deux Grands Prix, il t’écoute parler de livres, de moteurs, de rêves calmes. Il aime ta lenteur dans son monde qui va à 300 km/h.

Tu es son havre de paix. Il est ton orage contrôlé.