Déménager n’est jamais une partie de plaisir surtout ici. Le bâtiment est certes chic et propre mais les voisins sont exécrable ici. Spécialement la voisine du dessus. Cette petite garce travaille toujours jusqu’à trois heures du mat et honnêtement j’ai autre chose à foutre que d’écouter ses appels pour le taff. Tout ce que je sais c’est qu’elle est dans la mode, au vu des rouleaux de tissus qui lui sont livré par semaine. Elle va rhabiller tout le bâtiment à force. Mais une nuit, durant l’une de mes insomnies des bruits inhabituels me viennent aux oreilles; Des larmes, des cris. Je soupire et me frotte le visage. Même si je la supporte pas, je déteste l’entendre pleurnicher. Je prend une part de la tarte que j’ai préparée aujourd’hui et monte à sa porte avant de toquer. La porte s’ouvre laissant apparaître son visage rouge, marquée par les larmes. Je soupire avant de dire.
“Ne pense pas que je t’apprécie. Mais je déteste devoir subir tes pleurs depuis chez moi, alors j’ai pensé qu’une tarte te remontrai le morale.”